Le nom de Vladimir Fedorovski est associé à celui de la Russie qu’il ne cesse de nous faire comprendre et aimer à travers les portraits sensibles qu’il nous brosse des grandes figures de la littérature, de la politique ou de l’art. Nous l’avions rencontré à propos de son "roman de Tolstoï", il prépare celui de Rsapoutine et entre ces deux productions, il nous livre "Le Roman de l’espionnage".
On lit ce livre d’une traite tant il est habilement construit par celui qui est à la fois un vrai raconteur d’histoires et le protagoniste de certaines d’entre elles...
Edmond Morrel
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