Avant de partir à la rencontre de Claudette Lheureux, j’ai pianoté sur internet. Ceci, déniché sur le site de la Maison Internationale du conte me semblait bien la définir : "Belle grande dame du conte, Claudette L’heureux a bourlingué sur tous les continents en bateau, en avion, en char, à bicyclette, et a marché, marché, marché comme on dit dans les contes pour nous rapporter de belles histoires de femmes, des contes merveilleux et des nouvelles du magasin de son père à Maniwake. La poule à Madame Moreau l’a honorée de sa sagesse et c’est en chantant ou en contant cette belle langue française que nous restons sous le charme de ses histoires, toujours vraies, drôles, parfois étonnantes, mais emplies d’une parole à graver sur la pierre du coeur.
Claudette L’heureux a initié la Mère aux prunes pour les tout-petits et les parents et elle a publié un livre CD, la poule à Mme Moreau, chez Planète rebelle. Elle conte pour tout public."
Rien à enlever. Peut-être à ajouter cette modestie qui caractérise les vrais artistes, qui vivent et respirent au rythme de leur art.
A Montréal , Edmond Morrel. Octobre 2011
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