On dirait alors que la Kabylie devient un instrument de musique qui vient rythmer le récit et irradier davantage encore l’hypnotique talent de ce grand raconteur d’histoires qu’est Fahem.
Ne le manquez sous aucun prétexte, ici, là-bas, en Belgique, au Québec ou en Algérie dont il est le chantre merveilleux des « Ogres et Ogresses de Kabylie ».
Edmond Morrel à Chiny, juillet 2011.