Dictionnaire amoureux du Mexique

Après celui consacré à l’Inde, le nouveau et merveilleux dictionnaire de Jean Claude Carrière


Rencontre Jean-Claude Carrière et Edmond Morrel. Partie 1 (29.6 Mo)

Rencontre Jean-Claude Carrière et Edmond Morrel. Partie 2 (13.7 Mo)

Dans cette rencontre, Jean-Claude Carrière évoque les trois motivations qui, me semble-t-il l’ont amené à écrire ce Dictionnaire amoureux ». Une phrase tout d’abord, extraite de son introduction : « Le Mexique a l’allégresse mélancolique et le sourire menaçant. Il est antique et d’avant garde, il est évident et caché, il est folklorique et muet, il croit aux Saints plutôt qu’en Dieu… ». Seconde motivation, son ignorance de toutes les civilisations précolombiennes au moment où il se rend pour la première fois au Mexique.Troisième motivation : Bunuel « sans qui ce dictionnaire n’existerait pas ».
Les entrées de ce dictionnaire ce sont des « promenades » faisant de ce dictionnaire un « Dictionnaire vagabond » dans lequel on se promène au gré des curiosités qui peuvent nous mener de la lettre A comme Acapulco et s’achever à Zorro…une entrée pas prévue, mais qui permet de rêver de justice.
Jean-Claude Carrière évoque aussi la relation permanente entre le surréalisme et le Mexique…Je l’interroge aussi sur Maximilien et Charlotte…épisode romanesque et impossible à comprendre…surréaliste aussi…
Enfin, Jean-Claude Carrière évoque la figure humaniste de Bartolomé de Las Casas. Il consacre l’entrée la plus longue du dictionnaire à ce personnage fascinant auquel il a a consacré une œuvre majeure « La Controverse de Valladolid ».

Merveilleux conteur, Jean-Claude Carrière est aussi fascinant à écouter qu’à lire…
Edmond Morrel

Post Scriptum :
Jean Claude Carrière mène combat pour récupérer les droits des films de Pierre Etaix dont il a écrit les scénarios. Une pétition décrit les enjeux de ce combat assez inattendu au pays du « Droit d’auteur »… N’hésitez pas à en lire le texte et à le signer...L’objectif est de réunir 50.000 signatures à l’ouverture du prochain Festival de Cannes.

Si vous avez déjà signé, ne re-signez pas la pétition, mais parlez en à vos amis, collègues, conjoint... ou mieux, prenez un peu de votre temps, copier / coller le lien ci dessous et envoyez-le avec un petit mot à tous vos contacts en demandant de faire suivre...

http://sites.google.com/site/petitionetaix/

Il s’agit d’un mini site rappelant les faits et permettant d’accéder à la pétition et à bien d’autres documents. Comme l’a si poétiquement dit Antoine Hervé dans son message à Pierre Etaix : « Ce qu’une goutte d’eau ne peut, l’orage le pleut »

Présentation du livre par l’éditeur

Certains pays se sont trouvés. D’autres se cherchent encore. C’est le cas, semble-t-il, du Mexique. 
Car il y a trois Mexique. Celui d’avant la conquête, magnifique et violent, qui a pour image une chimère, Quetzacoatl, le serpent à plumes. Il est le grand civilisateur, mais de ses dents tombent des gouttes de sang. 
Il y a le Mexique espagnol et catholique, qui dura trois siècles. Celui-ci s’est donné pour image la Vierge de Guadalupe, compatissante, patronne officielle du pays, présente partout. 
Et il y a le Mexique moderne, qui s’est établi à partir des guerres d’indépendance et, plus tard, de la fameuse révolution. L’image est ici Zapata, le héros paysan, le juste mitraillé. 
Trois raisons d’aimer. Né d’une rencontre entre deux continents unique dans l’histoire, le Mexique est doux et violent, souriant et masqué, antique et d’avant-garde. Il est une terre de contradictions, un monde confus, broyé, d’où sortira peut-être un nouveau siècle.

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